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Ce magasin dont je garde toujours le nom secret !

HuileIsio4Souvenez-vous, c’était il y a un mois. Je vous faisais partager mon bonheur d’avoir, sur Rennes, un magasin “mine à pépites” (à lire ici). jeudi dernier, c’était à nouveau la journée de nos relevés pour le magazine RENNES CONSO. Et “mon” magasin m’a encore comblé (c’est bien pour ça qu’il est inconcevable que je vous en donne le nom, c’est comme les coins à champignons). Non seulement, un mois plus tard, la “boulette Isio 4” était toujours là, mais la situation s’était aggravée. Regardez-bien la photo du 16 février et celle d’aujourd’hui. Le prix de la bouteille 1 l a été modifié (il a baissé de 4 centimes). Ce qui suppose bien une intervention humaine sur la “scène du crime”. Un homme (ou une femme) qui n’a naturellement rien remarqué. Preuve, comme j’aime à l’expliquer aux enseignes, qu’il y a un lien fort entre le Penser-Client et le management. Message donc à tous les cadres : n’oubliez pas que vos “gens de magasins” ont certes deux bras (c’est d’ailleurs essentiellement comme ça que vous les considérez), mais aussi 2 yeux et une cervelle. Et qu’il y a sans doute plus à obtenir d’eux que de mettre en rayon ou de changer un prix !

5 commentaires

  1. Grand jeu de l’année, après le quiz de la distribution, le Kikisecachederrierela foto. Bon déjà on sait que c’est un carrefour 😉

  2. A noter que la bouteille semble s’écouler petit a petit, un seul facing et a priori plus qu’une bouteille en stock !

  3. le stock avec 20% gratuit semble presque épuisé selon la photo ce qui veut dire que le client est aussi passé a coté sans quoi une réclamation aurait peut être réparé l erreur … carrefour… le contrat de confiance !
    ce soir je vais cuisiner au beurre !

  4. Former les équipes des magasins au “penser client” n’est certes pas chose aisée, mais inculquer cette notion aux informaticiens qui développent les systèmes de gestion ou aux permanents en charge des fichiers prix en back-office des centrales ou des magasins relève de l’exploit…
    D’autre part, vous avez raison, les évolutions du secteur vers l’organisation scientifique de la gestion du rayon et la mise en place des outils informatiques tendent à dé-responsabiliser les équipes chargées de la mise en rayon. Et avec les étiquettes électroniques, on est encore passé au stade supérieur… Ah, qu’il est loin le bon temps des heures passées à étiqueter à la self des tonnes de marchandise…

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