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L’hyper au menu

Déjeuner « off » avec le patron d’exploitation d’un important réseau alimentaire. Evidemment, dès que c’est « off », c’est toujours plus passionnant parce que la langue se délie tellement plus facilement ! Parmi les sujets : l’hyper. Logique, c’est « LE » sujet du moment. Et les contre-performances en non-al de Carrefour sur le T1 rendues publiques ce matin ont alimenté la conversation. Pour faire court, nous étions deux à penser que le temps de l’hyper est derrière (évidemment chacun avec sa graduation). Et à la question de savoir ce que l’histoire (commerciale) retiendra de l’épisode « Planet », la réponse fût : “qu’il est finalement inutile de s’acharner…” Dur, évidemment. Mais pas si loin de la réalité.

5 commentaires

  1. Une petite question, est-ce que le T1 des spécialistes de la maison, du bricolage, des animaux, de l’ameublement, du luminaire, de l’électoménager etc…est aussi contre performant que celui de Carrefour sur son non al ?

  2. Mouais je sais pas trop, rien qu’a voir le monde qu’il y avait à Paques au Val d’Europe… Après c’est sur qu’il faut proposer des services supplémentaires par rapport à Internet pour donner envie aux clients de se déplacer plutôt que cliquer derrière l’écran. C’est pour çà que des ruptures rayons ou de l’attente en caisse c’est la plaie des hypers !!

  3. @sebk : plus de 1000 point de retrait en France d’un produit éventuellement acheté via clic sur le web, c’est quand même un sacré potentiel non ?
    Reste juste à considérer cela comme un achat “drive” disons, disponible soit en livraison sur le parking au cas ou il y aurait un “truc en plus a acheté dans le magasin…comme par hasard suelement dispo en magasin ;-), ou soit remis en zone de retrait de marchandise….et la…plus d’attente en caisse…mais bon je dis cela juste pour rire…

  4. Oui, le non alimentaire est en baisse c’est dernières années mais bon qu’en on voit le manque d’imagination des hypers dans la mise ne scène des produits par rapport à des spécialistes . je pense que déposez des produits dans des cartons sur des étagères non déballé c’est fini. Plus de mise en scènes et travaillez plus les produits saisonniers avec des allées pnétrante trop fade !

  5. @jérémy : c’est clair que la contrainte est l’actif. Alors quand la gondole est devenue moins haute, c’était l’occasion de faire (re)découvrir les produits.

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