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One more thing…

Capture d’écran 2013-01-22 à 09.35.39Un dernier post bilan sur cette semaine « USA/NRF ». Et peut-être le plus inquiétant pour le retail et l’industrie : les imprimantes 3D sont là. Enfin, diront certains ! Déjà, regretteront d’autres, comprenant que cette technologie est une incroyable menace pour la chaine de production et de distribution*. En effet, grâce à l’imprimante 3D, le consommateur devient le producteur de ses objets. Nul besoin d’industriel, ni de commerçants. Si ce n’est pour vendre des… imprimantes ! Ce sont les deux derniers points de vente que je vous propose de découvrir en images dans le diaporama PDF à télécharger ici.

* la menace est certes encore lointaine, les imprimantes sont certes encore trop onéreuses et trop imparfaites, il n’empêche, la techno est désormais présentable. Et donc présentée dans des commerces ayant pignon sur rue.

4 commentaires

  1. Quand tu vois le nombre de gens qui a du mal à programmer une montre à quartz, je suis nettement moins inquiète. Il faudra du temps avant que cette technologie soit fiable, du temps avant qu’elle soit abordable financièrement et une éternité avant qu’elle soit maîtrisable par tous.
    Elle va juste créer de nouveaux commerces, des gens qui vendront des “programmes” de fabrication, des matières premières, de la maintenance. Et cela va segmenter la question de la valeur ajoutée de l’objet. Les objets basiques sous-traités dans les usines-pays-pauvres pourront être faits à la maison, mais d’autres objets seront multicréés sur place et assemblés par de nouveaux marchands-concepteurs.
    Bref, cela va déplacer des activités et créer des métiers.

  2. J’imagine bien des petits commerces avec des imprimantes 3D à disposition.
    On vient avec son smartphone et un objet virtuel acheté en ligne. Le smartphone transmet l’objet vers l’imprimante 3D qui le matérialise.
    C’est pas encore le replicator de star trek, mais on s’en approche.

  3. Attention : le nombre de gens dont vous parlez ont dépassé un certain âge déjà. Regardez la génération qui arrive (je ne parle pas des ados mais les plus jeunes encore) : à 2 ou 3 ans ils ont une tablette en main et c’est naturel pour eux, alors les imprimantes 3 D quand ils auront 20 ans … Moi je pense que les industriels ont intérêt de prendre le train en route sinon ils vont rester à quai 🙂

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