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Il y a du Leclerc chez Amazon…

AmazonFraisLivraisonAu risque d’être détesté des deux (!), aucun doute, il y a du Leclerc chez Amazon ! Dans la série “J’utilise les obstacles réglementaires pour nourrir mon image-prix en adoptant une posture rebelle”, Les Leclerc ont quelques décennies d’avance… Mais Amazon a visiblement bien compris le bénéfice qu’il y avait à tourner la loi en ridicule. Et, ce faisant, conforter son image-prix. Aujourd’hui en effet rentrait en vigueur l’interdiction d’offrir les frais de port sur les livres (de même que la remise de 5 % pour les sites marchands). Résultat, Amazon écrit à tous ses clients (cf le courrier ci-contre) et annonce des frais de port de… un centime. Soit une quasi-gratuité de fait. Comme souvent, effet inverse… La loi devait freiner le développement d’Amazon. Elle lui offre une formidable occasion de rappeler à ses clients qu’il est encore le meilleur ami de leur pouvoir d’achat. J’vous dis, y’a du Leclerc chez Amazon !

3 commentaires

  1. Par contre l’inverse n’est pas trop vrai. La dernière fois que j’ai eu à contacter quelqu’un chez Leclerc, la qualité n’était pas la même que le service après vente de Amazon !

  2. C’est bizarre, je n’ai pas reçu le message dans ma boîte à lettre.
    C’est clair que la mesure ne va pas trop pénaliser Amazon.
    De plus, Amazon ne fait pas que de la VPC de livres.
    Pour parfaire son optimisation fiscale à l’étranger, rien ne pourra empêcher à Amazon de faire ses livraisons de livres depuis des sites et des plates-formes logistiques en périphérie du territoire français.
    Notons enfin que la FNAC a fait pareil.

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