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"C'était 2019" : libre regard sur l'année retail

Cetait2019

Un dernier coup d’œil dans le rétro avec ce libre regard sur l’année retail 2019. Libre car – de manière arbitraire mais argumentée – j’ai choisi de résumer 2019 en 19 actes. Sérieux ou léger, chacun de ces actes contribue à mieux comprendre les enjeux et les perspectives du retail. Ce qui, en 2020 comme depuis 18 ans désormais, demeure la raison d’être de la TPE Dauvers. 

“C’était 2019” est en libre-téléchargement ici >>

 

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TDV

3 commentaires

  1. Merci Olivier pour ce retour sur 2019. Pertinent, intéressant et souvent… drôle.
    Je suis plus réservé sur ton coup de coeur de l’année sur les shops in shops. En fait je ne comprends pas que ces grosses boites de périphérie trouvent un intérêt a se retrouver chez Carrefour ou Auchan. Elles sont elles-mêmes connues et reconnues par les consommateurs et souvent sur les mêmes parkings (en particulier pour la galaxie Muliez dont toutes les surfaces sont gérées par le même opérateur Immochan). Pourquoi le consommateur irait-il en hyper plutôt que directement à la source où l’offre exposée et le service sont forcément supérieurs ?
    Je crois beaucoup plus à la complémentarité de shops in shop qui apportent ce qu’on ne trouve pas dans les centres commerciaux de périphérie : Sushi Shop (toutes enseignes), Pacific Pêche (en test chez Carrefour) ou CDiscount (Casino) par exemple. Ces concepts me semblent plus de nature à être appréciés des consommateurs et à générer des recettes additionnelles pour les hypers.

  2. Le prospectus Carrefour de rentrée est incontestablement le plus agressif de l’année, mais les deux mécanismes utilisés ont fait long feu !
    En effet, nous n’avons pas revu l’opération de doublement de la cagnotte pour 100 € d’achat. Sans doute trop couteuse et vraiment difficile à valider juridiquement. Les lignes directrices de la DGCCRF précisent bien en effet que les cumuls d’avantages sont prix en compte.
    Quant aux lots virtuels panachés, le problème est différent. On ne peut tout d’abord parler ici de contournement de la loi puisque, de façon très explicite, la DGCCRF interprète le produit offert comme une prime. Géant Casino avait d’ailleurs déjà utilisé ce mécanisme. Il est vrai que Carrefour lui a donné une autre dimension avec l’appellation “duos de choc” et une plus grande systématisation. Mais, le problème est ailleurs : en règle générale, les lots panachés ne fonctionnent pas très bien et ne peuvent donc constituer une panacée. L’utilisation des lots virtuels panachés sont donc pour l’essentiel utilisés sur les fameux produits festifs, ceux qui ont été les premiers touchés par l’encadrement des promotions en valeur et volume.
    En tout cas, ce prospectus n’a pas vraiment permis à Carrefour de redresser sa situation.

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