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Une boutique pour les fondus de La Vache qui rit

montage vache qui rit

Peu de marques de la grande conso ont une notoriété telle qu’elles font l’objet d’un véritable business de produits dérivés. Coca-Cola est sans doute le cas le plus emblématique et Haribo s’en sort également bien via l’image de ses fraises Tagada, ses crocos et ses oursons gélifiés. Ces deux signatures iconiques ont “pignon sur web” avec des sites vendant moult goodies et autres objets à leurs couleurs. Deux exemples qui ont certainement inspiré La Vache qui rit. La marque quasi centenaire du groupe Bel vient tout récemment d’ouvrir sa boutique en ligne (boutique.lavachequirit.com) entièrement dédiée à ses produits dérivés, rien d’alimentaire : 190 références siglées pour l’essentiel La Vache qui rit, mais également Apéricubes et Babybel. L’assortiment se répartit en 4 “rayons“ : cuisine, loisirs, maison-décoration et mode-accessoires. Les prix vont de 0,99 € la carte postale à 99 € l’extincteur (si, si), en passant par le magnet à 4,99 €, la paire de chaussettes à 15 €, le tee-shirt à 29,99 € ou encore la plaque émaillée à 49,99 €. Les frais de livraison sont offerts au-delà de 20 € de commande. Avis aux collectionneurs ! 

Côté réalisation, Bel a fait le choix d’un design épuré, presque trop, conférant à l’ensemble un côté un peu amateur, sans doute renforcé par la juxtaposition de photos pack shot et d’autres non détourées. Avis au webdesigner 😉

vache qui rit une vache qui rit

 

Retrouvez entre autres les business cases détaillés de Coca-Cola et Haribo dans la dernière étude de la maison : DIRECT to CONSUMER. Un benchmark très détaillé et richement illustré de 50 marques de PGC dont l’objectif est d’analyser les stratégies et les pratiques des marques qui ont choisi de… “jouer à la marchande”. En clair, d’adresser directement le consommateur via une boutique en ligne (Evian, Bic, Bonne Maman…), un magasin physique (Lindt, Haribo, Maille…), voire même de la vente à domicile (Bonduelle). Une voie adoptée par de plus en plus de marques pour nourrir la relation-clients, tester de nouveaux produits, investir de nouveaux marchés et, ce faisant, “by passer“ la grande distribution… Plus d’infos sur l’étude ici >> 

couv

 

2 commentaires

  1. Le côté amateur va assez loin. Jusque dans la page de présentation :
    – Faute de grammaire (plein de surprise —-> s’il y en a plein, ça mérite un pluriel)
    – Ponctuation (il faudrait une virgule après “déplacements”, et un seul espace entre le “que” et le point d’exclamation)
    – Phrase grammaticalement correcte, mais trop longue et pataude
    -Mise en page (ligne orpheline : un seul mot. Peu esthétique et centré en plus !)
    -Pour la photo, passe encore sur les jeans décousus et déchirés (ça fait jeune), mais les baskets sales ne sont pas convenables.
    Ça fait beaucoup pour un document public émanant d’une grande marque, non ?
    Comme dirait Olivier : Avis aux communicants 😉

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