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Découvrez le rayon vrac connecté d'Intermarché Alfortville (94)

Encore une initiative vrac ! Depuis quelques semaines désormais, Intermarché Alfortville propose un nouveau rayon vrac : 48 trémies (dont quelques marques, comme Barilla) et, surtout, une expérience-client renouvelée grâce à la tech (signée du Tchèque Miwa). Concrètement, il s’agit de limiter l’un des irritants principaux de l’achat en vrac : la recherche du produit choisi dans l’arborescence de la balance. Ici, la balance et les trémies communiquent, de telle sorte que le client n’a pas à sélectionner le produit. Juste à se servir et à éditer l’étiquette. 2 parcours d’achat sont possibles : 1/ le client adopte une “cup” (3,60 € quand même, je chipote peut-être mais à l’heure d’évangéliser, y’a plus accessible), une “cup” donc, sur laquelle est présente une puce qui communique avec la puce de la trémie via RFID ; 2/ le client apporte son contenant ou utilise un sac papier. Pour la suite, c’est à découvrir en vidéo ici >> 

VisiteMinute

Et pour la visite photos, c’est à vous de scroller 

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Pour les passionnés du sujet, rendez-vous aux premiers Ateliers du Vrac, co-organisés par Editions Dauvers, Linéaires, Rayon Boissons et Circuits Bio. Le 10 juin à Paris. Pour comprendre le phénomène et partager les expériences. Comme d’hab, je m’engage perso sur le contenu de la journée. Infos ici >> 

AteliersduVrac

9 commentaires

  1. Concept intéressant, ça avance dans le bon sens. Après c’est vrai que 3€60 la cup pour 200g de pâtes, c’est un coût d’accès élevé. Surtout si on veut en prendre 1kg !

  2. Beurk.
    Bonjour l’hygiène à toutes les étapes : du remplissage par les ELS aux clients qui, fatalement, touchent les bords des conduits de délivrance des aliments…
    Re beurk.

  3. Ce service est destiné à des personnes fortunées et peu écologique avec des distributeurs construits en plastique
    Exemple de prix relevé : Penne rigate Barilla : 2.69 le kg . En ce moment chez C Market , le kg 1.31 et 3ème offert , soit à l’arrivée 0.87 le Kg.
    Il faut vraiment être un adepte du vrac pour accepter de tels écarts de prix et que les emballages traditionnels Barilla sont désormais pour partie en carton recyclé

  4. Le vrac n’a de sens que si il est moins cher que les produits déjà conditionnés, et là c’est pas du tout le cas… L’idée du contenant ramenée par le client est Top, pourvu que la tare soit bien exécutée 3G au lieu de 5G…

    1. C’est juste pour le prix mais la réduction du packaging est aussi un motif d’achat. Par ailleurs, on peut adapter les quantités à son foyer/sa consommation, ce qui n’est pas le cas de certains produits packagés. Au final, on peut ainsi réduire ses déchets…
      Cela ne concernera pas les pâtes et le riz mais d’autres produits, qui se conservent moins bien.

  5. 4 balances (certifiées?) pour si peu de référence ?
    Ça va être compliqué de faire autre chose que la une des journaux avec ça !

  6. Il faut arrêter avec le vrac a pas de sens si il est plus chère. Le vrac à pour vetue principale d’aider à sauver la planète en attaquant 2 piliers :
    – la réduction du gaspillage alimentaire en propsant les produits à la juste demande.
    – la reduction des emballages en utiliant des contenants ré utilisables.
    Le prix n’est pas une caractéristique propre du vrac, il diffère selon son circuit de distribution (format de magasin et mode de vente).
    Le prix va aider à la démocratisation c’est vrai…mais pas que : la perinence de l’offre, les grandes marques, la praticité, la confiance, etc. Tout n’est pas parfait car le marché n’est pas très mature. Comme le drive il y a 10 ans ^^.bonne journée

  7. Le vrac n’est possible que pour une minorité de consommateurs fortunés prêts à payer leurs produits 2 fois plus chers . Au regard de ses coûts de structure , ce service ne sera jamais moins cher où à prix égal du conventionnel.
    Gaspillage pour des produits frais OK , mais pour des pâtes, du riz dont la durée de vie est de plus de 5 ans et à la conservation facile !!!!!!!!
    Réduction des emballages = réduction de l’emploi en supprimant des filières complètes dont la plus importante est le recyclage et que tous les industriels sont déjà passés en partie aujourd’hui et le reste dans un avenir proche à n’utiliser que des emballages fabriqués a base de recyclage.
    Pratique de se trimballer avec ses emballages !!!!! avec une hygiène pouvant laisser à désirer.

  8. “Reduction des emballages = réduction de l’emploi”. On peut dans ce cas créer une filière sur l’héroïne et remettre en place les mines à charbon, ça va créer de l’emploi dans les deux cas.
    Le recyclage, aussi sympathique soit-il, n’est pas une solution malheureusement mais un petit pansement. Le meilleur emballage reste celui qui n’existe pas. Bonne journée
    (Je ne suis pas fortuné)

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