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J’ai testé… le Nescafé en vrac (chez Carrefour)

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Après avoir révélé (via mon fil Twitter @Dauvers70) le test Nescafé en vrac chez Carrefour, j’ai donc… testé le test ! Direction Market rue de Sèvres à Paris, à deux bas du Bon Marché. Le magasin est sur deux niveaux, avec le PGC en sous-sol. Mais le meuble Nescafé (équipé par HL Display) est placé au rez-de-chaussée, non loin de l’entrée. Tant qu’à tester, autant se donner le maximum de chances d’être vu ! 

Immanquable, donc, et difficile de mal-comprendre : il y a les classiques trémies, des bocaux vides, des sachets papier (qui gagneraient juste à être un brin plus visibles) et une balance. Et pour ceux qui (vraiment) ne comprendraient pas, les explications sont claires. Sauf sur un point : le prix. Nescafé et Carrefour passent le sujet sous silence. Bien sûr, l’étiquette de la trémie mentionne le prix mais davantage par obligation que par conviction. Et pour cause… Le client ne trouve aucun avantage à acheter en vrac. Certes (et c’est assez rare pour être souligné), il n’y a pas de surcoût au vrac : 30,50 €/kg, c’est-à-dire le même prix qu’en version classique dans l’épicerie. Pour le client qui achète un bocal et le remplit (ce que j’ai fait ici), pas de problème. Mais pour celui qui ne remplit qu’un sachet papier, aucun avantage alors qu’il serait en droit d’imaginer qu’il économise le coût du bocal. 

Reste “le” point noir. Oui, point noir (je pèse mes mots). Au point de se demander qui, chez Nescafé ou Carrefour, s’est vraiment transformé en client le temps de tester… De par la faible densité du produit, le service génère une “fumée” désagréable autour du bec et de la poignée, donc des mains du client qui repart de la zone auréolé d’une franche odeur de café. A revoir d’urgence. 

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4 commentaires

  1. J’espère que Madame Dauvers n’aime pas le nescafé…

    Parce que c’était mieux le test du monop’ automatique…

    J’ai tout juste là ? comme dirait Rachida…

    🙂

  2. Bonjour Olivier,
    Juste une question en passant… Si je comprends bien le bocal est vendu 30,50€ du kg? Ca fait cher pour un contenant. La version papier est donc avantageuse.
    Mais dans tous les cas, le consommateur va payer plus cher que le traditionnel bocal rempli en usine

  3. le « vrai » point noir que le détective à bien oublié c’est que le vrac dans les grande surface génère beaucoup de casse, par exemple si un client qui pèse le produit et qui décide finalement de ne pas le prendre

  4. Par contre le prix en vrac au kilo semble le même que celui du produit conditionné. (30.5 € du kilo?). Donc on paye le prix d’un packaging quoiqu’il arrive ?
    Autre question, au bout de combien de temps le produit en trémie peut il perdre de ses qualités organoleptiques ?

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