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Découvrez (en photos et vidéo) le corner Noa chez Carrefour

Noa

Après avoir présenté Noa (ici), impossible de ne pas être ce matin à St Brice (95) pour l’ouverture d’un nouveau corner Carrefour. Après Darty, Aubert, Pacific Pêche ou encore Cash Converter, voici donc une nouvelle concession testée par Carrefour. Noa, qui appartient à InVivo (comme Jardiland, donc on peut imaginer le coup d’après), loue 190 m2 dans la zone pet-food de l’hyper et s’y déploie à sa guise. En clair, le magasin est autonome de Carrefour (ce qui permet d’accueillir sans souci les marques spécialisées, Royal Canin par exemple) : Noa a construit l’offre (1 600 réfs) et encaisse ses clients, Carrefour se contentant d’un loyer, fixe pour ce premier test. L’assortiment est centré sur le chien et le chat mais avec, à chaque fois, bien davantage que l’alimentation : accessoires, soins, éducation, etc. Autant le dire, je n’ai aucun doute sur l’issue du test (ni sur le principe général des corners que je défends depuis des années / revoir ici). Sur un marché aussi affinitaire que l’animalerie, tant Noa que Carrefour seront gagnants. Noa profite du trafic de l’hyper et Carrefour peut bénéficier avec l’offre de Noa d’une raison de fréquentation bien précise dont ne peuvent se prévaloir ses concurrents. Le principe même des corners. 

Pour la visite vidéo, c’est ici >>

Et pour la visite photos, à vous de scroller >>

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4 commentaires

  1. Bonjour,
    a chaque mise en place de nouveau corner je me pose toujours la question : “Quid du rayon du magasin concerné/concurrencé par ce corner ?? Y a t il des produits en doublon ? Cela ne va-t-il pas entraîner une baisse de CA sur le rayon ?
    Merci

  2. Olivier , Vous ecrivez “Noa a construit l’offre (1 600 réfs) et encaisse ses clients” ,
    comment ça se passe lors du passage en caisse de l’hyper ? Comment les caissières distinguent les articles Noa des autres ?

  3. Cette histoire de corner me laisse perplexe, que ce soit ici ou ailleurs…. Les enseignes ne sont-elles pas capables par elles-même de développer des offres satisfaisantes ? A moins que ce ne soit une façon de réduire leur surface de vente devenue trop importante ?
    Dans certains cas, chez Auchan par exemple, cela peut se comprendre plus facilement compte-tenu de l’univers Mulliez : on reste en famille…., mais là ….
    A Laon, où je réside, Leclerc a sa propre animalerie distincte , à 100 m de l’hyper, qui n’a oas grand chose à en,vier aux concurrents.
    J’ai lu que les 2/3 des hypers carrefour ne couvraient pas leurs frais, c’est peut-être… et même surement la raison de leurs gesticulations tout azimuth… Mais en regardant leur prospectus de la semaine et en mettant à côté ceux de Leclerc où Inter, voire Lidl, on a tout de suite compris où la bât blesse, sans par de l’état pitoyable de certains magasins….

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