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[ EXCLU ] Leclerc change de stratégie sur l’occasion (et adopte la solution Circularx)

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On avait laissé le sujet Leclerc Occasion sur un réseau de magasins développés localement par les adhérents motivés par le sujet. Problème : ils sont moins nombreux qu’escomptés (et quelques uns ont même rangé les gondoles). Aujourd’hui, le réseau ne compte toujours que 50 points de vente, le même niveau qu’il y a… 4 ans ! Voilà pour le cadre.

Mais Leclerc a (enfin) compris sa faiblesse. Face à l’omnipotent Leboncoin (et ses millions de produits disponibles) que pesaient les espaces occasion en galeries marchandes ou parfois relégués sur deux allées au fond de l’hyper ? Trop peu. Il fallait donc muscler le jeu et attaquer le marché avec les mêmes armes. En l’occurence le digital. Voilà pourquoi est apparue discrètement (et récemment) une nouvelle section “seconde vie” sur le site Leclerc.

Les magasins Leclerc Occasion demeurent, mais le centre de gravité devrait basculer en ligne. A la fois pour consulter l’offre (937 762 produits disponibles, pour l’heure majoritairement alimentés en marketplace par des revendeurs spécialisés : Donkyshop, Zoomici, Icoza, MyDeal, Allocaz, etc.) et aussi pour proposer ses produits. Concrètement, via Circularx (déjà opérateur Boulanger et Leroy Merlin), Leclerc annonce ses prix de reprise produit par produit. Le client renseigne l’état de son objet et le prix s’affine et ne sera réellement validé qu’après le contrôle de l’objet. Deux solutions à ce stade : expédier l’objet ou le déposer dans l’un des 50 Leclerc Occasion. Dans ce cas, le client bénéfice d’une bonification de 10 % en bon d’achat valable dans l’hyper. Et l’objet rejoint le stock national tout en étant disponible localement pour les clients souhaitant “voir” avant d’acheter dans “leur” Leclerc Occasion.

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