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Molinard : quand la patronne paye de sa personne…

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Aujourd’hui, regard plus léger sur le commerce. Direction Grasse, « la » ville du parfum où nombre de parfumeurs historiques tiennent boutique. La plupart du temps des magasins épurés, empruntant davantage encore les codes du luxe que les parfumeries « classiques » (Sephora, Beauty Success, etc.). C’est le cas de Molinard ici. Mais la vieille dame (Molinard a été créé en 1849) n’oublie pas la dose de sensualité qui sied à l’époque. Et, devenez quoi, c’est même la patronne qui s’y colle pour faire la promo de son jus Cuir (voir ci-dessous). Ce qui s’appelle payer de sa personne.

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2 commentaires

  1. Et voilà, le corps de la femme encore là pour faire vendre !
    Et pendant que certains dénoncent l’usage dégradant de la femme pour le commerce, des filles à poils pour du shampoing ou du yaourt. D’autres censurent ceux qui dénoncent, histoire de protéger un peu plus le tout capitaliste qui nous lobotomise chaque jour un peu plus ! Des bobos de caniveaux nous diront que c’est de l’art…
    http://actufeministe.blogspot.fr/2011/11/jaccuse.html

    1. On peut discuter librement de cet aspect de la pub. Mais, dans le cas présent, faut bien intégrer que c’est la patronne qui s’y met. Et non pas le patron de la boite qui paye une mannequin pour se désaper et vendre un produit qui n’est pas le sien. Ce n’est pas qu’une nuance…

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