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Nordstrom : les grands magasins condamnés à en faire des tonnes !

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Passage obligé des stores-tour new-yorkais cette semaine, Nordstrom : le dernier des grands magasins ouverts à Manhattan à l’heure où le format, dans l’Amérique profonde, est plus que challengé par l’émergence du web. Alors, évidemment, ce qu’allait faire Nordstrom était attendu, scruté, guetté. Et, comme tous les grands magasins, l’enseigne en fait des tonnes pour justifier d’exister encore. Car aligner des milliers et des milliers de produits ne suffit plus face aux géants du web. Alors, Nordstrom en fait des tonnes (et pas nécessairement mal d’ailleurs) dans trois directions : l’ultra-théatralisation, les services, la personnalisation et une dose de modernité/décalage. Visite en image

 

Sur l’ultra-théatralisation, la boutique Nike

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Sur l’ultra-théatralisation, l’entrée de la boutique Burberry

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Sur l’ultra-théatralisation, même la mise en situation des maillots de bain ne peut être banale…

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Sur les services, c’est “la voie” pour se différencier des e-commerçants par principe cantonnés à la vente de produits. Sur la beauté, Nordstrom additionne donc les stands : manucure, bar à sourcils, luminothérapie, gymnastique du visage, etc. 

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Sur la personnalisation, Nordstrom multiplie les “spots”. Sur les chaussures, les jeans ou même sur le papier cadeau avec la possibilité d’une impression dans l’instant moyennant 10 $. 

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Enfin, la dose de modernité / décalage nécessaire pour “être” dans son époque : le distributeur de DirtyLemon (“la” boisson du moment : 10 $ le demi-litre…) ou également un “shoe bar” au coeur du rayon chaussures. Pas banal ! 

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