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Promotion 2021 : ce qu'il faut retenir du T1

PromoT1

C’est dimanche, un p’tit cadeau : un extrait de l’étude PromoFlash T1 2021*, co-éditée avec A3Distrib. Sur le premier trimestre, la pression promo des enseignes a reculé : – 2,5 %. Suffisamment rare pour être souligné même si l’effort promo des enseignes est encore quasiment au plus haut historique. Derrière ce recul, des évolutions contrastées : net recul pour les hypers (- 6 %), stabilité pour les supers et forte progression pour le discount (+ 9 %) et la proximité. Mêmes écarts sur les rayons : le frais LS et l’épicerie salée progressent (respectivement + 1,5 et + 2,7 %) tandis que le DPH et les liquides reculent nettement (- 6 et – 7 %). Enfin, vu par le prisme des enseignes, seules Match, Monoprix et Lidl ont accru leur effort promo en 2021. Le plus régulier ? Sans conteste Lidl dont la pression promotionnelle progresse année après année. D’ailleurs, comme pour la part de marché (il y a une certaine logique !), Lidl devrait dépasser Auchan en part de voix cette année. 

 

* Pour les curieux, l’étude PROMOFLASH est l’étude de références sur les stratégies promo des enseignes (depuis 2009, excusez du peu !) : pression promo, assortiment, tract, mécaniques promo, etc. Plus d’infos ici >> Et peut-être exemplaire découverte offert si demandé gentiment à Caroline (mon associée). 

PROMOFLASH T1 2021

3 commentaires

  1. L’inconvénient avec Lidl, c’est où son les promos en rayon?
    Les 10 malheureux articles en non alimentaires sont pris dès l’ouverture et les 4 cartons de bananes on à peine tenus jusqu’à 13 heures.
    Pour celui qui bosse, pas simple.

  2. La politique promo est remarquable de constance. Mêmes thématiques, mêmes périodes, mêmes produits en non-al, des pubs TV régulières… Cela doit grandement faciliter le travail des acheteurs.
    Quand, dans des enseignes d’hypers, on cherche tous les ans le changement, la nouveauté, le moins cher que moins cher, les clients demandent peut être tout simplement de la continuité et… les fournisseurs aussi. Évidemment, ça ne fait pas travailler les “grandes” équipes des services marketing et comm mais il y a là certainement de quoi “dégraisser le mammouth”…

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