Retour du coup de pub du dimanche pour un étiquetage vertueux des produits achetés en vrac. Du vrac au véritable zéro déchet, il y a encore quelques petits pas à faire… L’heure où tous les clients apporteront en magasins leurs “propres“ contenants n’a pas encore sonné mais… ça approche. Dans cette perspective, pouvoir étiqueter sacs, bocaux et autres bouteilles avec une étiquette facilement enlevable et qui ne laisse pas de trace serait la cerise sur le gâteau d’une expérience d’achat en vrac optimale. C’est d’ores et déjà possible et même proposé par des opérateurs comme Jean Bouteille, Smart Vrac et Vracoop. Et, ce, grâce aux étiquettes MAXStick auxquelles j’avais envie de donner un coup de pub (désintéressé comme toujours). Leur particularité ? Une formule zéro déchet de papier glassine (le support de l’étiquette classique), zéro silicone et zéro résidu d’adhésif. Elles ont la capacité à adhérer à de multiples surfaces (sacs, boîtes, bouteilles…) et s’enlèvent aisément afin de laver le contenant avant un nouveau passage en magasin. Vous me direz qu’il est toujours possible de venir à bout des traces d’adhésif d’une étiquette classique sur une bouteille mais ça requiert une bonne dose d’huile de coude et/ou de dissolvant ce qui n’est pas très planet friendly !
[ Et pour ceux que le vrac intéresse, RDV jeudi pour la seconde édition des Ateliers du Vrac, co-organisés par Editions Dauvers, Linéaires, Rayon Boissons et Circuits Bio. Infos et inscription ici >> ]
