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Les deux défis de la vie “zéro prospectus”

Jour après jour ou presque la vie “zéro prospectus” prend corps. Plus de 400 hypers/supers sont déjà “débranchés” de la diffusion non-adressée selon le comptage inédit publié ici. A chaque fois, deux défis. Le premier est évident, consubstantiel même de la vie “zéro prospectus” : comment maintenir le contact avec les clients ? C’est le dossier de la “contactibilité”. Le plus simple chemin est encore d’habituer le client à consulter de lui-même le prospectus en cours, qu’il s’agisse de médias propres à l’enseigne (site ou application par exemple) ou de solutions externes (Bonial par exemple). Autre voie : “pousser” le prospectus. Ce qui suppose de disposer du consentement du client (le fameux opt-in).

En parallèle à la contactibilité, second défi (trop souvent passé sous silence) : l’engagement des équipes sur le carrelage. L’expérience montre que le prospectus a aussi un rôle interne : mobiliser les équipes sur la préparation et la vie des promos en magasin. Symboliquement, un prospectus imprimé et diffusé “oblige”. Le même en digital-only est moins mobilisateur. D’où parfois le besoin de l’imprimer pour lui donner une vie physique ! Exemple ici avec le catalogue “Ventes flash” de Carrefour. Imaginé et réalisé en 48h (ce qui n’est pas le moindre des avantages de la digitalisation de la promo !), le tract en cours n’a donc été ni imprimé en masse ni diffusé. Juste imprimé localement et affiché dans les allées comme pour se rassurer qu’il existe vraiment !

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2 commentaires

  1. En 48h ?
    Imaginé oui pourquoi pas c’est réalisable de choisir les produits et rassembler les infos les concernant, réalisé wow ! Ils doivent avoir un service déco et un codir aussi importants en nombre qu’en réactivité pour réussir ça.

  2. Moi, je ne lis pas les prospectus numériques. Navigation peu pratique, beaucoup trop de manipulation sur l’écran si on veut toutes les infos.
    De plus, la plupart des mails publicitaires sont d’un inintérêt.

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