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Primaprix, les premières images en France

Comme je vous l’avais annoncé en avant-première ici et ici, Primaprix a donc ouvert ce matin son premier magasin français à Pontault-Combault (77).

Sur 350 m2, l’Espagnol offre un concept inédit en France. C’est un soldeur de marques nationales, qui ne propose que des PGC, dans une ambiance plutôt soignée. On peut donc (presque) y faire ses courses normalement. Il y a même un petit rayon produits frais pour la charcuterie-traiteur et la crémerie. 

Suivant un parcours imposé (droguerie-hygiène, épicerie, frais, liquides puis beauté), Primaprix propose 2 500 références dont la moitié ont vocation à être permanentes. L’appro est réalisé en achats européens (donc souvent avec des formats ou recettes différents, comme chez Action, Gifi et consorts) ou en direct via des grossistes pour les bons coups. 

Sur les prix, d’après ce que j’ai pu mesurer ce matin, Primaprix se positionne environ 5 % en-dessous de la moyenne France. Donc pas en casseur de prix, même s’il est ponctuellement très décroché sur quelques codes mis en avant (jusqu’à 50 %). Pour s’assurer de ne pas froisser les marques qui jouent le jeu, l’enseigne s’engage d’ailleurs à ne pas communiquer en mass-média sur ses offres.

Primaprix ouvrira dès demain son second magasin à Montreuil (93), sur un format plus modeste (200 m2) et un site sans parking. Le parc devrait compter quatre unités à la fin de l’année, avec des créations à Asnières (92) et Meaux (77).

La France est la première incursion à l’international de l’Espagnol. Primaprix compte déjà 169 unités après 8 ans d’activités sur son marché domestique. L’enseigne y cible prioritairement des surfaces modestes de centre-ville (70 % des magasins sans parking). 

Pour la visite en images à vous de scroller avec, en prime, des focus sur une cinquantaine de marques pour permettre aux fournisseurs concernés de découvrir leurs prix chez Primaprix. Ne me remerciez, c’est cadeau, juste pour vous éviter de tous envoyer vos chefs de secteur Paris-Est faire des photos 😉

Et, hop, voici donc le focus sur quelques marques…

10 commentaires

  1. une question me taraude : mais où est donc le prix au kilo (au litre), pourtant obligatoire?
    Un autre étiquetage déporté? Un système dématérialisé?

    1. Je me faisais la même remarque.. C’est obligatoire sur l’étiquette, non ?
      A part ça, ouvrez un magasin et vous aurez toujours des clients… Mais, quel est l’intérêt d’être un “spécialiste” du pgc pas vraiment dépositionné ? Au prix actuels du carburant, les clients resteront chez lcl, inter et lidl…

  2. sur tous les produits alimentaires comparables E.Leclerc est le moins cher. Et de très loin.
    Par contre des prix très intéressants sur le DPH en permanent. Néanmoins facilement contrer par les mécaniques promo régulières.
    Je ne comprends donc pas l’intérêt de cette enseigne.
    Pourquoi faire par exemple de la cristaline à 0.20 cts l’unité quand le prix moyen toutes enseignes confondues est de 0.19 cts.
    La knacki est à 1.97 en moyenne chez E.Leclerc pour 2.20 dans cette enseigne.

    Bref le client arbitrera mais je ne prédis pas longue existence à cette enseigne en France.

  3. Sur le trois quart des produits frais et des marques, notamment coca cola, leffe…. sont plus chers qu’en grande surface

  4. En temps que belge, c’est désolant de voir la Leffe moins chère en France … Le pot de sauce barilla à 1.20 est vendu + de 3 EUR ici. Le petit marseillais à l’argile est au même prix sur Amazon, -15% avec le monthly order 🙂

    Par contre la Benedicta je pense l’avoir payée moins cher lors de ma visite chez Leclerc Bellaing 😁

  5. Bonjour
    moi qui ai l’habitude de faire les courses à aucun moment je ne vois dans cette enseigne un quelconque moyen de faire des économies. Bien au contraire les prix sont bien plus cher qu’en supermarché.
    Désolé mais à Meaux il ne restera pas longtemps ouvert.

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