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Ramdam : dans les coulisses de la création d’une marque…

Premier épisode d’une série totalement exclusive consacrée aux coulisses de la création d’une (nouvelle) marque grande conso : Ramdam. Pendant plusieurs mois (jusqu’à l’arrivée des premiers produits en rayons, probablement début 2024), vous allez suivre 2 créateurs d’entreprise dans leur aventure entrepreneuriale : Luc-Olivier Pieret et Julie Boureau. Les deux ont une solide expérience de la grande conso. L’un était encore récemment directeur commercial de Too Good To Go, l’autre au marketing chez Innocent. Et les deux veulent changer le monde via la création d’une “marque qui aide ceux qui en ont besoin”.

En quelques minutes d’une première vidéo, présentation des deux créateurs et de la marque (sociale) qu’ils veulent créer >>

Rendez-vous ensuite toutes les semaines pour des “cartes postales” de leurs aventures !

En attendant vous avez aussi leur page ici

13 commentaires

  1. Cher Dauv’,
    Tu as de l’humour quand tu vérifies tes sources…
    Trouves-moi la société “Ramdam social SAS” : société inconnue car non enregistrée !!!
    D’ailleurs pas plus de mentions légales sur le site internet…
    Qui se trouve derrière tout cela ???

    1. Comme avec “c’est qui le patron” on va bientôt découvrir que le taulier touche sa comm 🙂

      1. T’as raison de le sous-entendre. Ça va permettre d’être clair : zéro intérêt, zéro facture, zéro, zéro. Même mon billet de train pour aller les voir à Bordeaux payé sur mes économies. Je sais, je sais pas gérer 😉 Idem pour C’est qui le patron of course.

    1. Sur le site internet doit figurer les mentions legal sauf erreur de ma part elles ne sont pas présente.
      Lorsque l’on tape le nom de la boîte figurant sur leur page on arrive également sauf erreur de ma part nul part sur société.com

  2. Je suis assez sceptique sur le concept… Pourquoi ne pas acheter un produit “normal” puis faire un don à l’association de son choix ? Doit on aimer les chips pour sauver l’univers ?
    Et ils en font franchement des tonnes, même pour un projet d’école de commerce ce serait hyper téléphoné et caricatural.

  3. il y a plus grave beaucoup de dépôt de bilan chez INTERMARCHÉ et M.COTILLARD dit que tout va bien ?

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