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La MINUTE RETAIL : pourquoi l’apocalypse des enseignes textile est juste normale…

⏰ C’est l’heure de la MINUTE RETAIL ⏰ Aujourd’hui, on parle chiffon ! Et on démarre par une question : quel est le point commun entre Camaïeu, Cop Copine ou San Marina par exemple ? Réponse : voilà des enseignes toujours connues du public, mais désormais disparues. En l’espace de quelques mois à peine, leurs centaines de magasins ont baissé le rideau. Définitivement. Et c’est… normal. 

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8 commentaires

  1. j’ai une question, les marges sont enormes sur le pret a porter ou je me trompe ?

    si ils n’avaient pas abusé a se niveau la auraient t’ils tous eu autant de soucis aujourd’hui ?

    la qualité dans toutes ces enseignes est t’elle toujours la meme qu’avant ? les chaussettes chez carrefour ….. le tex d’aujourd’hui n’a rien a voir avec celui d’hier ou d’avant hier, j’en porte encore plus de 20 apres l’avoir acheté alors que depuis deja pas mal de temps tout ce que propose carrouf c’est dla merde en sape.

    y a t’il une ou des enseignes qui n’ont jamais bougé d’un iota ? qualité et prix abordable ? et qui se portent bien ?

  2. l’ensemble de ces enseignes ont vendu les mêmes choses sont la même forme pendant des années sans se remettre en question
    Et aucune présence en ligne, ou bien trop tardive… Ils ont surfé comme jamais et en paie le prix maintenant, c’est terrible pour les salariés, mais “bien fait” pour les enseignes.
    Et oui @leboeuf, quand on se rince des coefs de 3 ou +, il ne faut pas s’étonner du résultat
    Heureusement que OD est là pour soutenir le marché des chemises bariolées !

  3. Le marché du textile a commencé son suicide depuis bien longtemps en misant à fond sur les soldes . Pratiquer des coefs de départ aberrants pour faire des remises 70 et terminer avec 20 à 30 de marge n’a choqué aucun dirigeant car ils seraient tous a court terme.
    Seul Zara a su piloter son modèle et crée la mode , tout comme Ikea l’a fait dans le meuble . D’ailleurs , Textile et Meuble , même combat ou plutôt même suicide …
    Le triste avantage de ces faillites est que cela “nettoie” le marché. Au détriment des employés qui n’en peuvent mais, malheureusement..

    1. tappez sur google “chaussette fraise carrefour youtube”

      quand des trous du .. sont payés des 10 ene de ke mensuel sans le reste et font de carrouf ce qu’ils en ont fait …..

      nivellement par le bas en france comme pour casino.

      les competences ne payent plus depuis trop longtemps, vivement la chute finale.

  4. Et comme on continuera toujours à s’habiller (peut être en revenant à des quantités raisonnables), on reverra dans les centres-ville des commerces indépendants comme c’était le cas il y a 30-40 ans au lieu d’avoir les mêmes chaines partout en France et en Europe.
    Si en plus on revient à la qualité, pas d’inquiétudes pour les indépendants. A condition d’allier qualité, petits prix et que l’on arrête avec ces ventes en promo 15 fois par an, qui font que l’on n’achète plus quand c’est plein tarif.
    Quand j’étais ado, on trouvait les marques (Levi’s, naf-naf, chevignon, oxbow, shott, poivre blanc, chipie, loïs, etc…) chez ces fameux indépendants. La qualité était au rendez-vous: j’ai des pulls qui ont 30 ans, toujours impeccables, une doudoune de 1990 aussi… Par contre la plupart des articles pas cher aujourd’hui ne tiennent pas 3 mois, quand ce n’est pas dès le 1er lavage!
    Bref un bon grand ménage ne fera pas de mal y compris à la planète (sauf aux salariés de ces usines à mode low cost)…

    1. Le textile aujourd’hui c’est du jetable. Qui met encore des vêtements de plus de 20-30 ans? les vieux ^^. La nouvelle génération veut suivre la mode du textile jetable à petit prix pour rester décomplexé en le jetant en fin de saison. Point à la ligne.
      Jumeler des magasins indépendants en centre-ville et le prix /qualité est totalement utopique! Pas de force de négociation à l’achat, couplé au prix des charges = prix de vente cher.

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