La vie est belle (souvent), cruelle (parfois). Aujourd’hui terriblement cruelle avec la disparition d’un complice : Frédéric Guyard, le rédacteur-en-chef de Rayon Boissons. Parti si injustement à 44 ans.
J’ai, avec Rayon Boissons, une relation particulière. Je l’ai initié en 1993 et assumé la rédaction-en-chef. Et, même après avoir créé Editions Dauvers en 2002, j’ai conservé avec ce magazine et ses équipes une forme de filiation. Au-delà des relations personnelles, nous co-organisions plusieurs événements reconnus comme des “carrefour” de la filière boissons. A commencer par les Ateliers du Vin, l’incroyable point de rencontre annuel entre enseignes, négociants, interprofessions. Frédéric était alors mon alter-égo de scène. Indispensable. Et comme il avait hissé le magazine à un niveau éditorial bien supérieur à ce qu’il avait reçu de ses prédécesseurs (dont moi), il avait plus que mon respect. Mon admiration.
Courage à ses journalistes. Orphelins. Comme tous ceux qui l’appréciaient.
Il n’y aura rien de plus aujourd’hui. Pardon pour cette faiblesse.
Les meilleurs partent toujours en premiers comme on dit , triste, courage à vous Olivier pour ce moment à passer
Sincères condoléances à la famille, aux proches et aux amis.
Ce n’est pas une faiblesse, Olivier. C’est humain.
Toutes mes condoléances.
Bon courage !
Je partage votre tristesse Olivier, ainsi que celle de la famille de Frédéric. 44 ans, c’est si jeune…