
Les habitués de l’ex-Casino de la rue Lecourbe à Paris auront eu du mal à reconnaître l’Intermarché ouvert hier… Hormis l’adresse, tout a changé : l’entrée (par la rue désormais, c’était par une galerie d’une autre âge au préalable), le sol (4 couches successives de carrelage et de Gerflor ont été enlevées pour les travaux), les meubles (les clients Casino avaient dû oublier qu’il en existait des neufs !) et enfin le parcours-client.
Derrière cette rénovation : Thierry Cotillard (patron des Mousquetaires) et son associé (et ancien DG d’ITM alimentaire) Claude Genetay, majoritaire dans ce projet. Les deux sont associés désormais dans 4 points de vente à Paris et périphérie. Le track-record du duo imposait évidemment une réalisation au-dessus de la moyenne. C’est le cas pour ces 1 700 m2 qui doivent redevenir un supermarché de destination ET de premier choix pour les habitants du quartier (il y a déjà 700 logements dans un immeuble juste au-dessus du magasin). Un bémol : il leur faudra quand même quelques visites pour bien appréhender le parcours de courses, mais la configuration du lieu l’imposait. Tout comme elle imposera une rigueur absolue pour ne rajouter aucun box, demi-palette ou autre verrues de cross-merchandising. Faute de quoi l’expérience-client en serait immédiatement pénalisée.
A 3 ans, l’objectif ici est d’atteindre 18 millions d’euros de chiffre d’affaires, soit un peu plus de 10 K du mètre. Évidemment accessible pour un magasin urbain avec une telle densité de population ! Ce qui représenterait alors… un doublement par rapport à la dernière année sous la bannière Casino (8,8 M€). C’est dire les profondeurs dans lesquelles naviguait le magasin…
Pour la visite, à vous de scroller…



































Comme mes commentaires critiquant sans outrance le groupe Casino ne sont plus publiés, je me vois contraint, pour ne pas déplaire, de dire que je préférais l’ancien Casino et même n’importe quel Franprix en cours de naufrage.
Faudrait pas froisser, voire pire, penser à l’expérience client ou au pouvoir d’achat !
le rayon FLEG semble moins cher que chez Leclerc.
Quand on mange peu de produits transformés Leclerc n’est pas avantageux.
les produits Top Budget sont regroupés sur un seul rayon: est-ce une démarché des deux associés ou une nouvelle politique de l’enseigne dans son ensemble?
La couleur noire omniprésente, notamment au plafond, me déplait fortement. Inconsciemment, le plafond est le ciel. Ici, c’est la nuit en permanence.
On leur dit d’aller faire un tour à l’au han belle feuille paris XVI ex casino pour voir qu’on peu faire pire que du temps de casino
Ah, Claude Genetay… celui qui voyait les adhérents Leclerc d’assez haut pour avoir le vertige ?