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Un dimanche au Sial en 3 photos

Dimanche d’ouverture du Sial, le salon international de l’alimentation. Passage obligé, rendez-vous incontournable. D’abord pour “parler drive”, le grand sujet du moment. Ensuite pour parcourir les allées sans autre but que d’humer l’air du temps alimentaire. 3 photos pour résumer cet air du temps.

SialMonopStreetAvant même l’entrée dans le salon, voici le camion Monopstreet. Bigrement  intéressant car illustratif du commerce alimentaire de rue qui se structure. A l’américaine diront certains. Pas faux. Mais Monoprix n’est pas le seul. Je vous recommande même le Camion qui fume. Un concept à suivre.

SialIranDans le salon à présent. Toujours le rendez-vous du monde alimentaire. Tous les pays ou presque. Alors que les tensions géopolitiques au moyen-orient sont au plus haut, l’Iran est ici, au Sial, à vanter ses pistaches. Business as usual !

SialAndrosMDDEnfin troisième image : les MDD qui ne se cachent plus loin s’en faut. Ici, bienvenue sur le stand… Andros. Le roi de la confiture qui assume son statut de “packeur”. Au point d’interpeller le chaland avec des dizaines de formats de pots possibles, simplement siglés “Your Brand”.

3 commentaires

  1. La stratégie d’Andros, à première vue très surprenante, est très intéressante…
    En tout cas, j’espère que l’on aura droit à beaucoup plus de photos et pourquoi pas une vidéo!

  2. Une excellente idée d’y avoir été le premier jour, car pour y être allé hier, dernier jour, la fermeture à 17h n’est que théorique. Dès 13h, des hordes de gens commencent à lorgner sans vergogne les produits exposés sur les stands, et cela va croissant au fil des heures, le salon international de l’agroalimentaire n’est plus, cédant sa place à une scène de pillage en temps de guerre. La croix rouge organise une collecte alimentaire, une bonne initiative au demeurant, mais celle-ci doit jouer des coudes avec des personnes pour qui la notion de solidarité s’applique d’abord à eux-mêmes. Je ne sais qui sont ces personnes qui viennent munies de grosses valises à roulette qu’elles remplissent à craquer, elles sont pourtant munies de badges d’accès, mais on a du mal à croire qu’il s’agit d’exposants ou de visiteurs professionnels. La présence des CRS à la sortie du salon finit de planter ce décor d’émeute urbaine. Image désastreuse garantie pour les visiteurs étrangers.

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