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Intermarché en mode publicité comparative, ça donne ça…

Tous les adhérents ont depuis quelques mois dans la “boite à outils” mise à disposition par l’enseigne un kit de publicité comparative. Pour l’heure, je ne l’avais pas encore vue. La voici donc. Et c’est l’ancien patron de l’enseigne, Thierry Cotillard, qui a dégainé. Il y a quelques jours, ses magasins d’Issy les Moulineaux et Boulogne, près de Paris, ont fait les comptes : 10 % moins cher qu’Auchan et 16 % moins chers que Carrefour Market. Bon, le nombre de produits est limité mais c’est quand même bien le principe de la publicité comparative : comparer à son avantage, précisément en exacerbant son avantage. Au besoin sans une rigueur statistique à faire se pâmer Cédric Vilani !

9 commentaires

  1. Tout va bien, Ramy va se charger de ça, et dans 6 mois Carrefour répondra !
    Le bureaucratie, la centralisation, tout ça…

  2. Efficace, quitte à ne pas être très à cheval sur le français (“que Auchan”, plus personne ne sait semble-t-il utiliser l’élision) et l’identité visuelle (les anciens logos Auchan et Carrefour, mais c’est vrai que ce dernier ne fait lui même pas beaucoup d’efforts en la matière).

  3. Serait curieux de savoir combien de clients s’arrêtent devant ces panneaux…
    Arme de concurrence basique mais inefficace ?
    Car si je suis client d’un magasin et qu’on me dit qu’il est moins cher que l’autre, est ce pour me donner raison d’être là…?

  4. Ces comparatifs sont complètement débiles et Intermarché se ridiculise une nouvelle fois.
    Qui va acheter, la lessive Le Chat, les couches Pampers, l’eau Hépar, la mayonnaise Maille, etc… aux prix indiqués sur les tickets
    de fonds de rayon peu achetés alors que ces produits bénéficient perpétuellement de remises importantes
    Qu’ils fassent à nouveau leur métier de commerçant qu’ils semblent avoir oublié avec des rayons remplis et de vraies remises

    1. Vous racontez n’importe quoi, purement et simplement, c’est un raisonnement de bas étage, vous vous êtes cru au café du commerce ?

  5. Bonjour jfb78,
    Encore une réflexion ‘débile’ comme je vous site.
    Vous avez déjà mis les pieds dans un magasin de l’ex patron d’Intermarché Thierry Cotillard ?
    Je crois que non !
    Ses magasins sont au top et si il y a des ruptures ce sont celle des fournisseurs comme dans les autres enseignes.
    Pour ce qui est des noms de marques que vous mentionnez, eh bien oui, un couple qui vient d’avoir un enfant par exemple peut acheter des couches, de la lessive et de l’eau même si comme vous dites les produits sont souvent en promo !
    Cela veut dire que pour vous, vous achetez que des produits en promo donc suivant votre raisonnement, vous tombez sur la dernière feuille du rouleau de papier de toilette et que par malchance, il n’y en a pas en promotion dans les magasins, vous prenez quoi alors ? du papier journal ?
    Pour les vraies remises … encore une incompétence de votre part … Egalim impose au distributeurs sur les produits alimentaires un réduction de 34% maximum du prix. Et non plus comme avant 50 et voir plus comme l’opération nutella.
    Encore des réflexions dignes de ce que l’on peut vivre dans notre société actuelle.
    Du grand n’importe quoi pour ne pas dire autre chose … ‘DéBileS’ par exemple !

  6. Les comparateurs qui n’en sont pas! Quiestlemoinscher pour Leclerc, une vrai arnaque:
    Vous recherchez un produit et on va vous mettre que celui-ci est moins cher ou équivalent chez Leclerc, sauf que si celui-ci est moins cher chez la concurrence et bien il ne vous sera pas proposé dans la base de données donc forcément, sur leur site tout est moins cher mais si bien ciblé. Tout comme le bouclier inflation de la même enseigne, les produits proposés sont ceux où la marge est la plus importante ou bien avec l’inflation la plus maîtrisée donc peu coûteuse pour Leclerc. Tout est communication, fait pas se leurrer mais la GMS se gave a mort.

    1. MEL est un excellent communiquant(et des bas prix oui), et pour ça tout le monde lui pardonne tout.
      Mais la casse dans les équipes, chez les fournisseurs, on en parle jamais alors que Leclerc est le pire de tous !

  7. La publicité c’est aussi l’art de cacher la misère… Si Intermarché est “fier de faire moins que les autres” c’est un aveu de faiblesse. En effet l’indice Distriprix à souligné les dérapages d’Intermarché, Carrefour, Auchan, Casino… sur les prix bien avant l’application des nouveaux tarifs fournisseurs… Faut il y voir une perte de confiance dans la capacité de leurs acheteurs à limité les hausses? Autre remarque, ces enseignes évitent soigneusement de se comparer à Leclerc ou Lidl… Preuve qu’elles renoncent à affronter les meilleurs de la classe pour concentrer leurs actions sur les plus faibles…
    Finalement ces enseignes jouent avec le feu, vendent leurs âmes au diable et renient les fondamentaux d’une enseigne performante: leur audience (et leur part de marché) s’érodent au fil des mois, elles abandonnent le discount et pari sur les hausses (des carburants, des tarifs fournisseurs) pour sauver leurs résultats financiers et oublient que le premier actif d’une enseigne c’est sa clientèle.
    “les avantages du mensonge sont d’un moment, et ceux de la vérité sont éternels; mais les suites fâcheuses de la vérité, quand elle en a, passent vite, et celles du mensonge ne finissent qu’avec lui.” (Diderot)
    L’avenir nous dira si cette campagne atteint son objectif….

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