Suite de ma série d’inspirations “bonnes idées / bonnes pratiques” dans le prolongement de mes ouvrages sur l’IMAGE-PRIX, le PENSER-CLIENT et la PRÉFÉRÉNCE (disponibles ici).
Aujourd’hui, direction Carrefour Montesson (78), l’hyper pilote de Carrefour pour le développement du vrac en marques nationales. La bonne idée, c’est d’inciter le client à aller voir du côté vrac pour faire des économies ! Ce qui est, faut-il le rappeler, la mission du vrac (vu du client) puisqu’il y a – en théorie du moins – l’économie de l’emballage.
Et pour muscler votre jeu côté commerce, je renvoie à mes ouvrages sur le sujet. Garantis 100 % métier, 100 % pratique, 100 % “carrelage” ! Disponibles ici >>
Quelle hygiène pour le vrac ? Il est évident qu’elle est moins bonne que pour des produits sous vide, ou sous atmosphère contrôlée, qui sont conditionnés dans des usines propres.
Les microbes qui viennent dans les distributeurs de vrac, dans les boutons, dans les sachets de vrac, etc, ne font pas des milliers de morts, sinon ça se saurait. Néanmoins, un certain nombre de personnes, comme moi, sont obligés de faire attention à l’hygiène à cause de problèmes de santé.
Par ailleurs, j’ai remarqué que ceux qui aiment le vrac, aiment les marchés en plein air. Eh bien qu’ils y aillent. Vouloir du vrac en supermarché, c’est comme vouloir la campagne dans la ville.
“qui sont conditionnés dans des usines propres”
ca se voit que vous n’avez jamais bossé en usine agro.
les pizza ca vous dit rien ? et pour toutes les autres dont on ne parle pas …….
franchement le vrac pour moi niveau hygiene meme si je n’en consomme pas du tout ca reste logiquement le plus clean.
conditionnement en grosse quantité = moins de manip.
apres si ca se passe chez certains comme dans les moulins, expérience vecu mais il y a prescription …. palette de farine qu’on rebalance tout en haut pour un bon melange avec du plus recent c’est la vie mais ca reste du sec donc bon spas bien grave niveau bacterio rien a craindre.
Les gens pensent encore que le plastique coûte moins cher que la main-d’œuvre, les pertes et le suivi de la tracabilité du vrac ?