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Dans les coulisses de la création de la marque Ramdam. Épisode 11 : la gamme est prête, les packs aussi !

Exceptionnelle série de “COULISSES DE LA CONSO” consacrée à la création d’une nouvelle marque : Ramdam. Une marque “sociale” (puisque chaque achat génèrera un don en faveur d’une association), portée par deux ex-cadres de la grande conso (Luc-Olivier Pieret et Julie Boureau) que j’ai décidé de suivre jusqu’à l’arrivée de leurs produits en rayon (revoir vidéo de présentation ici). Régulièrement, ils vous adresseront une carte postale pour faire de vous les témoins (de l’intérieur) de leur aventure entrepreneuriale. Episode 11 : la présentation de la gamme !

“Ça y est ! La gamme est “arrêtée”. Ramdam, ça sera donc 7 références : 2 chips, 2 cookies et 3 sablés. Évidemment, de super bons produits (on vous présente bientôt nos entreprises partenaires). Mais l’essentiel est ailleurs : chaque produit acheté génèrera un don pour une association. Et, ici aussi, on veut être transparent…

Pour un paquet de chips acheté, un encas (une soupe ou une boisson chaude) sera offert à quelqu’un en situation de grande précarité avec le Samu Social. Pour les cookies, chaque paquet acheté permet aux Banques Alimentaires de glaner 110 g de fruits & légumes en Bretagne et de le redistribuer à quelqu’un en difficulté. Enfin, chaque paquet de sablés permettra au Secours Populaire de Paris d’acquérir 125 g de fruits et légumes parmi les hors calibres et invendus de marchés de gros pour leurs épiceries solidaires. 

On continue ! “

Julie et Luc-Olivier

9 commentaires

  1. Curieux de voir le prix en rayon et de voir combien le client devra donner en plus pour des articles déjà très concurrencés.
    L’avenir nous dira si ces produits arrivent à trouver leur public par ses temps difficiles où tout le monde regarde le prix et la concurrence.

    1. Bonjour Denis, merci pour votre message. Le prix est en effet l’un des principaux facteurs d’achat, et on a à coeur d’être au même prix que les autres produits à qualité équivalente pour que le consommateur n’ait pas à faire de compromis, ni sur le prix, ni sur le goût (plaisir = second facteur d’achat). C’est pourquoi on a intégré le don dans notre chaîne de valeur à nous.

  2. A part les sablés, rien de très différenciant… Le client voudra-t-il payer un ou deux euros de plus pour faire don… d’un “encas”, pas un repas, un encas ; ou “125g de fruits” (soit 1 clémentine) alors qu’il peut offrir un paquet de pâtes complet lors des collectes alimentaires en choisissant un paquet de chips traditionnelles ? A moins d’envisager une distribution sélective exclusivement dans la proxi des beaux quartiers, et les cafétérias de Business Schools

    1. Bonjour C.H., merci pour votre commentaire. En effet, nous ne créons pas de produits différenciants puisque notre mission est toute autre: utiliser la liste de courses quotidienne pour partager la valeur. Les fameux 20/80. C’est pourquoi nous proposons des recettes coeur de gamme.
      Par ailleurs nous ne demandons pas d’effort au consommateur, puisque le don est intégré dans notre chaine de valeur. On est donc au même prix que les autres produits, à niveau de qualité équivalent.

  3. Belle initiative en effet .
    Outre le PV, curieux de voir si cette gamme va trouver….sa place en linéaires, comme toute nouveauté différenciante.
    Car une fois bien mis en valeur les 1ers prix ( important par les temps qui courent), les mdd ( piliers de la Renta), placés les MN ( imposées par les accords de gamme ), implantés les éventuels produits locaux ( nécessaires pour l’image ), quelle place pour cette gamme “solidaire” ?
    Une mise en avant en allée centrale ou en TG et ensuite ?

    1. Bonjour Dewe, merci pour votre commentaire. Votre question est très juste, où implanter cette gamme… Nous recommandons une double implantation, en TG/ allée centrale pour la faire découvrir (on sait que le point de ventes reste le principal lieu de découverte) mais aussi en rayon car notre objectif est d’intégrer le don dans les achats au quotidien. A terme, on pourrait peut-être créer un rayon solidaire comme les rayons bio lorsque le bio commençait à apparaître?

  4. “m’acheter c’est faire un don ”

    un don a qui ?????????

    allez y balancez puisqu’au fond c’est la finalité de votre projet.

    vivement dans 10, 20 piges au max.

      1. effectivement desolé, meme si vous avez bien compris ou je voulais en venir.

        les grand meres sans le sous qui ont pourtant bossé toute leur vie ou les clando sans papier ? c’est uniquement ca qui me fera éventuellement acheter un de leur produit.

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