J-5 pour les 38e journées annuelles de l’IFM. Un rendez-vous immanquable comme vous pouvez le lire sur le site depuis le début de la semaine. Et, autant vous l’avouer, cette publicité est tout autant… gratuite que désintéressée ! Aucune commission de l’IFM vers les Editions Dauvers selon des participants que nous aurions rabattus ! Non, rien de tout ça. Juste l’envie de vous faire partager mon enthousiasme sur ce qui est toujours le plus important rendez-vous de la communauté industrie-commerce en France (et même en Europe me semble-t-il). Pour tout vous dire, 2010 marquera mes 20emes journées annuelles. A 20 ans, c’était donc il y a 20 ans !, alors stagiaire à la rédaction de Linéaires, j’avais eu cette opportunité de suivre de passionnants débats. C’était, pour les plus anciens, au Méridien Porte Maillot. Puis vint le Carousel du Louvre, la Grande Arche de la Défense et, pour la première fois cette année, le CNIT à La Défense. Dès l’origine, alors simple auditeur dans la salle, j’avais l’habitude d’interpeller les orateurs pour obtenir détails ou éclaircissements sur telle ou telle idée. En l’espèce, la timidité ne m’a jamais inhibé ! Probablement parce que j’ai toujours été “bien” à l’IFM. Et cette année à nouveau, je le sais à l’avance, j’y serai bien. Pour la 7e ou 8e fois, j’aurai le plaisir d’animer les débats et d’y intervenir à plusieurs reprises, notamment sur les deux sujets qui m’animent le plus : le Penser-Client (au travers du Bêtisier de l’année) et la passerelle off-line /on-line (via la visite en images de Carrefour Planet). Et comme je ne veux surtout pas être “votre” raison de venir, voilà ceux que vous écouterez aussi : Lars Olofsson et Franck Riboud, respectivement patrons de Carrefour et de Danone, que je retrouverai sur scène mardi en fin d’après-midi, mais également Guillaume Vicaire (Carrefour Hypers France), Gérard Walter (Géant Casino), Jean-Denis Deweine (Auchan), Thierry Aumont (Leclerc) et Vincent Ringenbach (Cora) : des patrons d’enseignes d’hypers avec lesquels nous réfléchirons précisément au devenir de l’hyper. Immanquable, je vous dis…
