L’initiative n’est pas nouvelle. Voilà deux ou trois ans que Chronodrive a, de temps à autre, une vie off-line pour soutenir son commerce, qu’il s’agisse de prospectus (si, si) ou d’affichage. C’est désormais beaucoup plus fréquent et c’est riche d’enseignements… D’abord, à l’heure de la digitalisation du commerce, le off-line a encore quelques vertus. Si tel n’était pas le cas, quel intérêt aurait Chronodrive à se payer pareilles campagnes d’affichage alors que certains « experts » (grisés par leur propre usage davantage que par une analyse objective de la situation) parent la publicité digitale de toutes les qualités : coût, ciblage, efficacité, etc. Bref le paradis numériques des pubards…
Ensuite, second enseignement : il en va du drive comme des hypers/supers. Difficile de vivre sans promo-choc. Chronodrive suit en ce sens le chemin des hypers/supers multipliant les BOGOF (buy one get one free) ou, plus impactant encore, les produits 100 % remboursés en cash-back.
