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Que valent les prix Toujust ? (Évidemment j’ai testé 😉)

L’un des promesses de Toujust et en tous les cas celle qui a mobilisé les foules (je peux d’autant plus en témoigner que j’y ai passé la journée hier !) c’est bien… les prix bas. Partout annoncés depuis des mois 10 % en deçà du marché. Avec, comme toujours, la difficulté de la démonstration si les produits ne sont pas strictement comparables (ce qui est souvent le cas des produits des fournisseurs actionnaires, généralement peu présents en distribution classique). Les seuls produits comparables – et qui forgent donc l’image-prix – sont les grandes marques du PGC/ Frais LS, bien plus présentes que ce qui était attendu initialement. Et, là, suffisait d’écouter les clients dans les allées hier pour comprendre le sujet : dans trop de cas, Toujust est totalement déphasé (comparé à son premier concurrent Hyper U, de l’autre côté de la rue !). Par exemple plus de 10 % sur des biscuits, plus de 20 % sur des bières, le riz et un pic à plus de 30 % sur le fromage. Très risqué pour l’image-prix et donc sur la capacité à fidéliser des clients qui auront été échaudés sur leurs produits favoris. Pour autant, Toujust se défend sur quelques produits (17 fois moins cher sur les 60 duels). Mais ce manque de régularité est, en l’état, un véritable point faible de Toujust.

Pour télécharger le détail des duels prix, c’est ici >>

12 commentaires

  1. Aucune notion de prix au KG sur les étiquettes prix. Cette information n’est elle pas obligatoire?

  2. Tout ça pour ça…..
    Rarement vu une campagne Médias aussi bien orchestrée…
    Mais voilà trop de promesses et ce qui devait arriver arriva:
    – Sur les prix: Engagements non tenus
    – Sur le local: Engagements non tenus
    Que dire des articles non balisés, des prix au kilo non renseignés

    Bref moins de com, plus de terrain.
    Ceci étant le mal semble fait si on se réfère aux avis Google du magasin. Ça vaut ce que ça vaut, mais il y a une sacrée tendance.
    Dommage
    Bien évidemment la messe n’est pas dite, mais bon.
    Dommage

    1. Surtout qu’ils emploient des moutons ! Payé au lance pierre et 39 heures par semaine pour 1410 euros net par mois. C’est honteux. Ah et on n’oublie pas ouvert 7 jours sur 7 .

  3. le juge de paix est passé, il a ecouté, a verifié pour finalement conclure.

    une remarque, ils connaissent du monde dans cette boite pour avoir eu droit a une telle couverture mediatique, seul soucis le client regarde les prix et son ticket de caisse en sorti.

    j’attend avec impatience les trois cent mago, voir l’evolution de l’enseigne, en ce moment c’est toupargel/place du marché qui a part à pas cher toutes les semaines, le lundi ou le mardi.

  4. Un lancement bien mené médiatiquement, en revanche promesses non tenues des le démarrage ! Pas bon pour eux , caddied loint d être plein !
    On en reparle d en 6 mois !

  5. Magasin mal rangé, cheminementdésordonné, employés non prêts, marques que l’on retrouve ailleurs beaucoup moins chères, attente aux caisses interminable. Pour moi c’est un magasin à éviter. Dans un an. On n’en parlera plus. Trop de communication pour un résultat hyper décevant. A FUIR.

  6. Encore une fois beaucoup de com pour nous faire croire qu’ils vont révolutionner le Retail
    Comment va se passer le développement comment annoncé avec un concept non abouti !
    La Folie des grandeurs encore une fois
    . . . Chronique d’une catastrophe annoncée ? ?

  7. Mère a reculé
    Toujust très moyen
    Supeco c était couru d avance
    Depuis plus de trente ans et l échec de Tesco personne n’a compris que à cause ou grâce au poids des indépendants la distribution en France se fait avec de petites marges…
    Mis à part Lidl aucun discounter n a réussi
    Mais parce que Lidl a eu l intelligence de se positionner sur un autre créneau,unique et tellement fort que même Aldi ne lui arrive pas à la cheville
    C’est pourquoi j’ai déjà expliqué conaissant très bien le fonctionnement d atacadao au Brésil et en Argentine qu il aura du mal à décoller en France..
    Pas de marché de déstockage, pas de marché parallèle des industriels, des concurrents costauds avec des marges serrées
    Atacadao c’est perdu d avance
    Alexandre écoute moi plutôt que d écouter les chants de sirènes de ceux qui disent ce que tu veux entendre
    À moins que tu le fasses exprès
    Juste pour la com et la naïveté des analystes financiers
    Mais cela c est une autre histoire
    En attendant de profundis “act for food”
    Parce que act for fund et atacadao c’est un peu Martinez et Borne qui partent ensemble en classe de neige

  8. Enseigne déjà en train de couler.
    Tout est nul, du nom qui fait mal aux yeux au prix qui font mal au porte-monnaie.
    On dirait se concept sorti (ou volé) des bureaux du groupe Casino !
    C’est dire…

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