Dans quelques jours, c’est l’envol officiel pour Ramdam, une nouvelle marque “sociale” (ou solidaire) que je suis depuis leurs débuts l’an dernier (revoir ici). Après la définition des produits, des packs, des prix, les contrats de sous-traitance et la prospection commerciale, ça y est, le lancement approche. Ça sera le 22 janvier à Paris et les Monsieur/Madame RSE de Carrefour (Carine Kraus et Bertrand Swiderski) seront même présents en guests. Ce qui donne une bonne indication sur là où vous pourrez trouver les trois premiers produits Ramdam : chips, crakers et cookies. Avec – je le rappelle pour ceux qui l’auraient oublié – la même mécanique solidaire : un produit acheté, c’est un encas offert ou un repas co-financé pour des personnes dans le besoin (d’où le claim “M’acheter c’est faire un don”). C’est la raison pour laquelle je me suis investis (non financièrement je précise) dans cette aventure : pour sa dimension sociale. Au même titre (pour les curieux) que mon engagement d’administrateur de C’est qui le patron.
C est comme la demande en caisse d arrondir les centimes en mafasin pour soutenir une cause; que c est désagréable cette technique culpabilisante venue des US!
M’acheter c’est faire un don ? Oui bon, donc si je n’ai pas envie, aucune raison d’acheter alors… Me dire c’est très bon, avec de bons ingrédients, c’est fait en France, et EN PLUS tu fais un don, oui c’est vendeur. Pour le packaging on imagine sans peine que l’un des deux associés a indiqué en face arrière qu’il avait une Kangoo (revendue depuis, forcément), tellement le copier-coller avec Michin et Augustel saute aux yeux.