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Liberté chérie. Allégorie (en image)

Se balader en supermarché habillé par Panzani et Coca-Cola et ressortir avec des Barilla et du Pepsi, je sais, c’est gentiment provoc… Mais c’était l’occasion d’une allégorie sur la liberté éditoriale qui est celle de la maison.
Rien, absolument rien de ce que vous lisez ici (mais aussi sur mes réseaux, notre veille VIGIE GRANDE CONSO, etc.) n’est “monétisé” pour reprendre un mot à la mode. Rien, rien, rien. En clair, lorsque je choisis d’évoquer telle marque, de présenter telle solution techno ou tel magasin, il n’y a ÉVIDEMMENT aucune contrepartie commerciale.

En clair, chez nous la frontière “pub-rédaction” est totalement étanche. J’y perds sans doute (des euros), mais j’y gagne la liberté (d’acheter des Barilla et du Pepsi, entre autres libertés).

🏖️ Sur ce, je retourne sur la plage, y’a de la battle Lidl/Leclerc dans l’air… Teasing 😎.

Un commentaire

  1. Olivier n’a pas de contrepartie pour devenir riche. Mais avec de la contrepèterie il se fait des nouilles, encore.

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