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Carrefour teste le patchwork promo personnalisé

Je vous fais profiter de ma petite trouvaille du jour… Carrefour teste (car ce n’est pas systématique, il faut tomber dessus…) une nouvelle présentation en patchwork des promos sur écran, mobile ou desk. Patchwork car les « cases » d’affichage des produits, que l’on scrolle de haut en bas, sont de tailles variées : 8 formats cohabitent. Ce patchwork est donc un entre deux entre la très monotone grille de promos et la mise en page, plus sexy mais figée, en catalogue feuilletable.

Au-delà de la dimension purement esthétique, je vois d’emblée trois avantages évidents à ce traitement en patchwork :

  • Primo, l’alternance de tailles et formats rompt la monotonie et donne donc, mécaniquement, davantage envie de scroller le « catalogue ».   
  • Secundo, et c’est le plus important, selon le profil du client, Carrefour peut introduire une dose de personnalisation dans les produits mis en avant. Je l’ai expérimenté sur les offres de Noël en cours : dans les premiers articles poussés, j’ai droit en format XL à une confiture St Dalfour et un pack de fuets Elpozo quand mon associé se verra, lui, proposer une bûche façon rocher ou un mini pâté en croûte, qui sont relégués chez moi beaucoup plus bas et en mode mineur. Forcément pas un hasard…
  • Tertio, cette grille déstructurée offre autant d’espaces qui peuvent être utilisés à d’autres fins que la seule présentation d’un produit. Carrefour en profite déjà, ici, en proposant des recettes festives. C’est malin. Mais on peut très bien imaginer, demain, en faire aussi des espaces média pour les marques.

Un commentaire

  1. En fait, il ne s’agit que d’une nouvelle pagination. Le fait qu’elle soit ‘adaptée’ au client, c’est bien. Ils le faisaient déjà, par mailing, ou smsing (ça s’dit?)… mais pas en patchwork (ce mot est laid)
    Ce qui m’intéresse le plus, ce sont les détails (j’ai l’œil du tigre vous le savez à force). Je ne parle pas des 2 toasts Jacquet dont l’un est ‘origine France’ et l’autre, brioché, est ‘fabriqué en France’ (alors que les mêmes en taille mini sont ‘origine France’) Il y a sûrement une bonne raison. Bref!
    Il y a un texte dans l’article, je le lis. C’est quoi ce “quand mon associé se verra, lui, proposer une bûche façon rocher ou un mini pâté en croûte, qui sont relégués chez moi beaucoup plus bas et en mode mineur. Forcément pas un hasard…”??? Quel hasard? Que faut-il en comprendre? Je veux être dans la confidence!
    J’ai vu la photo de la bûche façon rocher dans le catalogue S50. Pour faire court, retire tout les éléments de déco et dis toi que je peux pondre la même chose (Quoi, faut pas pousser? T’as pas le choix, faut pousser!!). Y a des scato dans la team Dauvers?? Dénoncez-vous… que je vous refile discrètement mon 06! (pas sérieux ou timide, s’abstenir)
    Ou alors, se faire proposer une grosse bûche voudrait signifier autre chose, mais quoi? (clin d’œil complice) Et casser la croûte… La croûte à qui? Lui foutre la pâté dans sa croûte, ça doit faire “mâle”!
    Et c’est quoi tous ces mots avec des accents circonflexes dans la même phrase: bûche, pâté, croûte, même, mâle. Je n’en ai jâmâîs vû âûtânt dê tôûtê mâ vîê!

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